Détail formation |
Bilan environnemental des élevages bovins : état des lieux, marge d'amélioration, rôles pour le vétérinaire | ||||
Réf : JPV22-3
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Formateur : | Professeur ROLLIN Frédéric | |||
Diplôme principal : | Docteur en Médecine Vétérinaire | |||
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Formateur : | Professeur CABARAUX Jean-François | |||
Diplôme principal : | Docteur en Médecine Vétérinaire | |||
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Domaine : |
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Espèce : | ||||
Mots clés : | gaz à effet de serre (GES), empreinte carbone, durabilité, gestion de troupeau, réduction des émissions de GES, méthane | |||
Nature de la formation : | ||||
Type de contenu : | Synthèse des connaissances et techniques de base actualisées | |||
Niveau de la formation : | ||||
Langue de la formation : | Français | |||
Durée : | 3 heures | |||
Fractionnement : | ||||
Nombre de PFCC potentiels : | 3 | |||
Public cible : | Vétérinaires praticiens des animaux de rente |
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Prérequis souhaités : | aucun |
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Nombres d'apprenants : | min. : 10 - max. : 80 | |||
Justifications: | Parmi les nombreuses critiques adressées aux ruminants et à leurs éleveurs dans les médias, la plus pertinente est sans conteste leur contribution non négligeable aux émissions anthropogéniques de gaz à effet de serre et, partant, au réchauffement climatique. Les vétérinaires praticiens ruraux sont partie prenante dans cette problématique et sont demandeurs d'arguments pouvant être opposés aux détracteurs de l'élevage bovin et de la consommation de lait et de viande. Ils souhaitent aussi pouvoir conseiller correctement et scientifiquement leurs clients en la matière, en tenant compte des coûts des solutions proposées. | |||
Objectifs : | Au terme de la formation, l'apprenant sera capable de mieux comprendre la complexité de la problématique des émissions de GES par l'élevage de bovins et sera à même de mieux les appréhender et de les atténuer à l'échelle du troupeau | |||
Résumé : | De nombreux moyens existent pour réduire l'empreinte carbone des élevages bovins.
Ils ont essentiellement trait à l'alimentation des animaux, la productivité et la gestion du troupeau, la fertilisation azotée, la gestion des effluents, la réduction de la consommation d'énergie et l'augmentation de la séquestration de carbone dans les sols. Il n'existe pas de remède miracle pour diminuer l'impact des ruminants sur leur environnement mais la combinaison raisonnée de plusieurs solutions, à tailler sur mesure pour chaque élevage, permet une nette marge d'amélioration. Il convient de les envisager pour répondre aux attentes de la société civile de plus en plus attentive à cet égard. A la question de savoir si les exploitations laitières avec un impact environnemental moindre, comme les systèmes d'élevage basés sur le pâturage, sont malgré tout viables d'un point de vue économique, la réponse est sans ambiguïté favorable puisqu'elles aapparaissent même plus rentables que les systèmes intensifs hors sol pour la production de lait. L'augmentation récente des coûts des différentes sources d'énergie accentue encore l'avantage des élevages en consommant moins. Cette formation s'articulera en 3 points : 1) Etat des lieux de la situation au niveau de la planète et de notre région. Rappels des différents rôles essentiels assurés par les ruminants dans leur écosystème. 2) Description des marges et moyens d'amélioration des émissions des GES par les élevages bovins. 3) Rôles du vétérinaire rural en la matière. |
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Moyens pédagogiques utilisés : | power-point | |||
Notes téléchargeables : | ||||
Lien vers site(s) : | ||||
Evaluation(s) : | ||||
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